Ca
y est, vous y êtes. Le 31 décembre, enfin. Une année de plus qui se termine et
une nouvelle qui commence (oui généralement, c’est comme ca que ca marche).
Vous
avez finalement, au dernier quarra, réussi à vous mettre d’accord avec Copains de Vous pour passer la soirée
ensemble. Après avoir tout planifié : menu (hyper simple, on n’est pas là
pour se prendre la tête), lieu (chez Copine de Vous ca ira très bien (de toute
façon elle sait mieux recevoir, alors ….), la décoration (deux boites de
cotillons feront l’affaire).
Seule
déception : Grande fille Adorée passe son premier réveillon loin de vous (inadmissible
cette manie de grandir). Elle fait ca avec ses amiEs, sans adultes (information
qui vous est parvenue comme par hasard la veille ! No comment). Bon, il
vous faut l’accepter : 2015 verra son quinzième anniversaire (gloups).
Mais attention : interdiction de sortir de la maison, d’inviter des garçons,
pas d’alcool. Et oui vous êtes réduite à un rôle de mère fouettarde (font chier
ces ados !!!)
Heureusement
il vous reste Petit Cœur, qui du haut de ses treize ans, vous assure qu’elle
restera toujours votre bébé d’amour (on en reparle dans deux ans ?).
Ce
réveillon aura donc été une première. L’indivisible petit quatuor que vous
formez fièrement avec Cher et Tendre, Grande fille Adorée, Petit Cœur commence à se fissurer. D’autant plus que cher et tendre a choisit ce soir pour
vous abandonner lâchement au bout de 3 bouteilles de champagne. Mais où est-il
celui là. Après renseignement auprès de Copain de vous, il n’a pas encore
émergé des toilettes où il s’est enfermé voilà bientôt un quart d’heure !!!
Oups, manifestement le mélange antibiotique / alcool n’est pas une légende
urbaine !!!
Tant
pis la soirée aura tout de même été bonne (merci télé de nous avoir proposé un
programme si original pour un 31 décembre).
C’est
donc pleine de bonnes résolutions que vous entamez l’année 2015. Du haut de vos
bientôt 41 ans, vous savez que ces « inaccessibles étoiles » referont
sûrement leur retour en 2016. Tant pis, mais c’est tellement bon d’y croire …
